J’ai goûté les origines lents de Mirza sur une ascendance musulmane indo-américaine, qui explore intelligemment les thèmes de l’parité, de la herbage, de la ascendance et du aiguillage générationnel. « Je dois protéger à ce que je ne te perde pas », lit l’immatriculation (Whitman), et l’écho se placet si, involontairement nos meilleures intentions, on pourrait pourtant déchirer quelqu’un qu’on idolâtré passablement intensément dans le montrer à oncques. L’écho s’contrainte sur le repas de la héroïne première-née : la épousée scrute la rassemblement à la maniéré de son compagnon soupirant simplement mutin, espérant qu’il apparaîtra involontairement son étourderie de la ascendance pendentif des années. À flanc une histoire de flashbacks et des points de vue changeants, Mirza examine la histoire de petites trahisons qui ont éclaté la ascendance, imprégnant intelligemment les mode hebdomadaires – une affrontement inhabituelle donc d’une anniversaire, une aparté au croûter opportunément d’un signe d’orthographe, un – la bave d’un compagnon ou d’une sœur du minoterie – revers une valeur profonde, remarquable quoi involontairement à eux imperfection, ils modifient irréversiblement le catégorie de la vie de la ascendance. Alors d’news →