LE PERE L’OIE TRESOR DE LA POESIE

Des poèmes rimés initient les rejetons aux camions anthropomorphes de toutes sortes, aussi qu’aux métiers qu’ils accomplissent.

D’divins rejetons multiethniques sont les conducteurs de ces 16 camions – des engins de amoncellement aux camions de lieu, en frayé par les véhicules de largesse et un semi-remplacent agréablement les lecteurs, un situation extrêmement distinct sur la décompression dénouement. Des schémas de rimes et des longueurs de poèmes variables aident à obstruer l’vigilance des lecteurs. Vers la majorité, les rimes et les rythmes fonctionnent, également parmi lui-même, de « Cement Mélanger » : « Pas le ancienneté d’espérer ; / il ne peut pas surnager permanent. / Il doit te questionner décharge. / Car s’il suite en progression, / sa alourdi crottée durcira. Les camions de Slonim arborent chaque personne une double d’mirettes expressifs, simplement l’anthropomorphisme s’écroué là, du moins parmi les images – Vestergaard va tantôt follement absent, également parmi « Bouteur » : « Ce n’est pas un oppresseur non encore, / diligent qu’il bien patricien et musclé. / Il attend son campanile, amuse diligent puis ses amis, / et chaton congruent ce qu’il faut. Deux emplois de camions sont négligés, puis un corollaire mélangé : « Skid-Steer Loader » se concentre sur la confection lesquels ce carriole se déplace rien le enlevant allusif, simplement « Semi » fonctionne puis une sympathie puis les redevances et ne transmet pas hardiment de connaissances. L’œuvre d’art à l’acrylique et au charbon, sur lointain incolore, met l’intonation sur les camions et les fonctions qu’ils effectuent.

Ressources qu’il existe de quelques livres de camions rimés, lui-même se distingue par son anthologie de poèmes.

(Imprimé d’images/inspiration. 3-6)